MAÎTRES ANCIENS
THÉÂTRE DE LA VALLÉE
"Je déteste les hommes, mais ils sont en même temps mon unique raison de vivre."
Maîtres anciens, roman de Thomas Bernhard, a été récompensé par le prix Médicis étranger en 1988.
Reger, véritable détestateur du monde, s’assied, un matin sur deux, face à L’homme à la barbe blanche, tableau du Tintoret représentant la vieillesse et la mort. Il livre ses attaques contre un art corrompu, des politiciens assassins et des penseurs hypocrites. Mais un jour, il rompt avec ce rituel…
L’alliance d’humour et de critique ouvre sur la satire politique, la dérision, et met en oeuvre la critique sociale. « Celui qui ne sait pas rire ne doit pas être pris au sérieux !
ICI | La presse en parle
"Les mots de Thomas Bernhard ne sont jamais innocents, ni indolores. François Clavier est impeccable dans ce jeu de massacre." L’Humanité
"Remarquable adaptation - Pharisiens s’abstenir !" La Terrasse
"Lumineuse réflexion sur l’art" L’œil d’Olivier
"La Misanthropie totale. Ironie et méchanceté, c’est terrible mais c’est drôle." Radio Soleil
"Un authentique chef-d'œuvre." Froggy’s delight
"Une pure leçon de théâtre, un texte profond et violent, drôle et captivant." Spectatif
"Dérision totale, entreprise de sape généralisée, un grand moment de drôlerie." Snes édu
"Comédie peut-être, mais une comédie grinçante. ƒƒƒ" Un Fauteuil pour l’Orchestre
"Le public jubile aux saillies de Reger contre « un gouvernement hypocrite et menteur et grossier, un gouvernement le plus bête qu’on puisse imaginer." Théâtre du blog