ARCHIVES
SAISON 2020-2021
résidence de création
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du 17 au 20 septembre
QUAND TOUTE LA VILLE EST SUR LE TROTTOIR D'EN FACE
Un texte de Jean CAGNARD (éd.Espaces 34)
Grand Prix de Littérature Dramatique ARTCENA 2018
Comment s’en sortir lorsqu’on est toxicomane ? Comment voit-on le monde ? Comment nous voit-il ? N’est-on pas en permanence « sur le seuil », à cet endroit de mise en jeu de la vie ? Est-on jamais sûr de se réveiller, et dans quel état ? Est-on jamais sûr du prochain pas ? À travers la voix du résident en institution et celle de l’éducateur, grâce à la langue percutante de Jean Cagnard, nous traversons une très longue journée, peut-être infinie, pendant laquelle la vie a la nécessité de se réinventer, parfois de façon drôle et cocasse malgré la souffrance.
Texte : Jean Cagnard – Editions Espaces 34 | Conception et réalisation : Catherine Vasseur et Jean Cagnard | Mise en scène : Catherine Vasseur | Interprétation : Julien Defaye et Vincent Leenhardt | Scénographie : Cécile Marc | Création lumières : Catherine Noden | Création musicale et sonore : Jérôme Hoffmann | Production : Hélène Sorin
Production : Compagnie 1057 Roses | Co-production : Théâtre Le Périscope – Scène conventionnée d’intérêt national – art et création pour les arts de la marionnette, le théâtre d’objets et les formes animées – Nîmes / Le Cratère, Scène Nationale d’Alès / Le Printemps des comédiens, Montpellier | Partenaires : Artéphile - Avignon / La Bulle bleue - Montpellier / Mix’Art Myrys - Toulouse
Une semaine d'art en Avignon
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28 | 29 | 30 octobre
19H00
31 octobre
15H00
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Réservation obligatoire
15/10 €*
LE PIED DE RIMBAUD
D'après l'œuvre d'Arthur RIMBAUD
« Je est un autre »
Promis à Dieu, un jeune séminariste sent naître en lui le double feu du désir et de la poésie. Alors commence un jeu vertigineux, le dialogue avec l’autre en soi, avec les autres en chacun de nous.
Dans une brûlante confidence, il nous dévoile son projet inouï : changer le langage, les relations, les opinions, les perceptions, l’amour… bref, la vie! Un programme révolutionnaire, non sans humour, la déclaration d’intention d’un adolescent visionnaire ouvrant une fenêtre sur la modernité.
L’art théâtral étant collectif, ici, la solitude n’a pas d’avenir, et Le pied de Rimbaud sera partagé, avec une voix et une musique d’aujourd’hui.
Maxime Dambrin, acteur singulier et puissant, gourmand de mots et de sensations, incarne cet éveil, ce manifeste debout au centre d’un printemps violent, avec l’ambition de métamorphoser l’enfer en illumination.
« ... O Thimothina Labinette ! Aujourd'hui que j'ai revêtu la robe sacrée, je puis rappeler la passion, maintenant refroidie et dormant sous la soutane, qui l'an passé, fit battre mon cœur de jeune homme sous ma capote de séminariste !... Voici le printemps… » Extrait de "Un cœur sous une soutane"
Compagnie du théâtre de l'incendie
Texte : d'après l'oeuvre d'Arthur Rimbaud | Adaptation et mise en scène : Laurent Fréchuret | Jeu : Maxime Dambrin | Musique : Lionel Martin | Directeur de production : Slimane Mouhoub
Production : Théâtre de l’Incendie | Soutiens : Théâtre des Marronniers / Centre culturel de la Ricamarie.
Le Théâtre de l’Incendie est conventionné par le Ministère de la Culture-Drac Auvergne-Rhône-Alpes, la Région Auvergne-Rhône-Alpes, le département de la Loire et subventionné par la Ville de Saint-Etienne
Théâtre | Dès 15 ans | Durée 1h00
* Tarif plein : 15€ // tarif réduit : 10€ (-18 ans, étudiants, chômeurs, sur présentation de justificatif)
Réservations au 04 90 03 01 90 ou sur resa@artephile.com
Semaine des arts
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31 octobre 17H00
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Entrée libre, sur réservation
JUBILER
Un texte de Denis LACHAUD
Mathieu et Stéphanie, célibataires, ont cinquante ans. Ils se contactent sur une application de rencontres. Ils se voient, se jaugent. Ils s’exposent, se mettent à l’épreuve.
La séduction, l’appétit, le désir les poussent l’un vers l’autre. Un bar, chez lui, chez elle, ailleurs. C’est la rencontre, puis la construction d’un couple que Denis Lachaud, romancier et auteur de théâtre, étudie et édifie. Un couple, ses matériaux, sa structure, ses aléas, ses fissures, le mystère de sa force, de ses fragilités.
Chacun a ses raisons, ses démons, ses besoins et ses manques. La rencontre des individus, presque fortuite, doit tout au hasard d’une application qui proscrit le hasard. Ils sont faits l’un pour l’autre, mais comment tenir, ensemble ? Comment toujours parvenir à « jubiler » ? Malgré l’excitation et la peur, la déception ou le désir, le doute et la lassitude, la combativité et le découragement, la fête et le deuil ?
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Pierre Notte met en scène le tourbillon des sentiments plongés dans le temps ordinaire et assassin du quotidien. C’est une vraie belle et grande histoire d’amour, pleine de ratages merveilleux, qui par à-coups de malentendus et de compromis, érigent la magie cathédrale d’un couple, et de ce couple-là, unique, qui parvient à construire ce qui pourrait ressembler, au bout du compte, à un amour à vie, inconditionnel.
Texte : Denis Lachaud |Mise en scène : Pierre Notte | Interprétation : Benoit Giros et Judith Rémy | Lumières : Éric Schoenzetter |Costumes : Sarah Leterrier |Régie générale et plateau : Alexandre Mange
Production : L’Idée du Nord |Coproduction : Théâtre de Chartres / Les deux-îles de Montbazon / Théâtre de Saint Jean de Bray
Avec l’aide : Drac Centre-Val de Loire / Région Centre-Val de Loire / Ville d’Orléans | Soutien : Artéphile, Avignon
Aide à la création ARTCENA Catégorie TEXTE DRAMATIQUE - 2019
Sortie de résidence | Dès 14 ans | Durée 1h20
Entrée libre
Réservations obligatoires au 04 90 03 01 90 ou sur resa@artephile.com
résidence de création
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du 1er au 11 novembre
AU CŒUR DES TÉNÈBRES
Un texte de Joseph CONRAD
Un acteur seul en scène nous raconte la remontée du fleuve Congo. Il nous laisse entrevoir les forêts profondes, l’arrivée des hommes blancs et leurs premières rencontres avec les peuples indigènes. Il nous ramène aux sources du racisme, qui se fonde toujours sur cette même conviction : les crimes commis contre les noirs ne sont pas réellement des crimes, car les hommes noirs ne sont pas des hommes.
« Survenaient par moments des murailles de roseaux,des toits en pointe, tout un village d’indigènes, qui trônait suspendu dans la brousse. C’était alors une explosion de hurlements, une foule de mains battantes, un tourbillon de membres noirs. C’étaient des pieds qui par centaines martelaient, des corps qui ondulaient, des pupilles effarées qui roulaient.
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On longeait très lentement les bords d’une noire, d’une incompréhensible frénésie. L’homme préhistorique nous maudissait-il, nous implorait-il, nous accueillait‑il ? Nous passions silencieux sous son village, glissant comme des fantômes sous le déchaînement terrible et frénétique d’une maison de fous. »
Texte : Joseph Conrad | Mise en scène et interprétation : Eram Sobhani | Création lumière : Julien Kosellek | Création sonore : en cours | Régie générale : Clément Verbeke
Production : La nouvelle compagnie | Soutien : L’étoile du nord | En recherche de partenaires (résidences et co-production)
résidence de création
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du 24 au 28 novembre
(mon premier)
C'EST DÉSIR
Un texte de Marie-Madeleine de LA FAYETTE et Lise MARTIN
D’après La princesse de Clèves
La Princesse de Clèves est une sorcière. Elle tient debout toute seule et refuse toute assignation à identité : courtisane, épouse, mère, amante. Attention spectacle dangereux pour les certitudes établies.
« Il parut alors une beauté à la cour » et elle se mêla du monde comme il ne va pas. Au plateau, une actrice de l’ère Me too invite le public dans sa loge. Acceptera-t-elle de jouer la Princesse de Clèves ? Tout en construisant son personnage de fiction, elle convoque des figures, interpelle des vivants et des morts, des fake, des justes, et révèle la puissance et la liberté de son désir. Jouer pour refuser d’être assujettie à identité.
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Monter la Princesse de Clèves aujourd’hui, c’est parler de la femme qui choisit de vivre pour elle seule, qui refuse tout carcan, qui s’émancipe des attentes. Être comédienne aujourd’hui, c’est changer quinze fois de baby-sitters, subir l’angoisse d’avant-spectacle, assumer son rôle de mère à distance, essayer de contrer les pressions sociales. Il s’agit de répondre aux préjugés de genres, aux préjugés de classe.
Mise en scène : Anne-Frédéric BOURGET | Avec : Charlotte MARQUARDT et Benoit MARGOTTIN | Collaboration artistique : Chimène LOMBARD et Julien VASSELIN
Soutiens : Région Hauts-de-France (aide à la création) / ville de Marcq-en-Baroeul / le pays de Mormal / la Verrière / théâtre Massenet / lycée Edgar Morin de Douai
Concert jazz
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04 décembre 19H30
REPORTÉ
SHAN
Trio Jazz
Eau, végétal, pierre, mémoire sensorielle, ce trio explore les thèmes de la résonance et de la transe aux moyens d’enchevêtrements rythmiques qui génèrent un mouvement perpétuel.
Pascal Charrier : guitare folk
Julien Pontvianne : saxophone ténor, clarinette
Ariel Tessier : batterie, percussions.
Une rencontre inédite entre trois voix aériennes et marquantes de la scène Jazz et musiques d’improvisation actuelles.
En raison des mesures sanitaires actuelles, le concert est reporté. Une nouvelle date sera communiquée prochainement...
Lecture théâtralisée, musique live
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10 décembre 11h30
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Réservé aux professionnels
LES FRANCOPHONIRIQUES | JOURNÉE PROFESSIONNELLE
MARTINE À LA PLAGE
d'après un texte de Simon Boulerice (Québec)
Une Lolita en bonnet de bain qui subit échec par dessus échec.
Qui bascule dans la cruauté extrême.
Vide.
Sortie de résidence
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08 janvier
16H00
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réservé aux professionnels
MISS
MISS est un spectacle hybride sur la condition féminine.
En tirant le fil de « l’idéal féminin », nous avons créé une forme mêlant le chant, la danse et le théâtre, afin de porter un propos engagé avec fantaisie et jubilation, dans un rapport direct au public.
Ça commence par une femme à barbe idéale.
Ça se poursuit avec le face à face de deux écritures, une classique – avec Antoinette Deshoulières, et une contemporaine – Carole Thibaut, dont se dégage un historique du rapport féminin/ masculin engageant une réflexion sur les clichés et le rapport à l’autre dans ses limites:
Que reste-t-il du sujet lorsqu’il n’est, de tous temps, que projections et objet du désir des autres ? Qui joue le jeu de quoi ? Qu’est-ce que le féminin, où se situe le masculin ? Quelle liberté lorsqu’on se conforme encore et toujours ?
Ecriture, adaptation, mise en scène et interprétation : Béatrice Courtois et Maud Leroy | Création lumière : Nicolas Génestin
Production : HF/ Nord pas de calais-Picardie |Coproduction : Compagnie Etrange été / Compagnie Versus / Théâtre Octobre de Lomme, Hauts de France
Résidence de création du 4 au 10 janvier
Sortie de résidence le 8 janvier à 16h00 | Durée 1h15
Réservé aux professionnels
résidence de création
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du 06 au 28 janvier
KALÉIDOS
Avez-vous déjà vu un tout petit face à un miroir ?
Avez-vous déjà constaté la jubilation qu’il a à contempler cet autre qui n’est pas encore tout à fait lui-même ?
Dans le miroir, le tout-petit découvre petit à petit une nouvelle réalité du monde, différente de celle qu’il a jusqu’alors. Lorsqu’il se regarde dans le miroir, il se construit une image de lui-même, une identité propre, qui lui permet de différencier progressivement son corps de celui des autres. Une expérience inédite que nous avons tous vécue…
Cette expérience, inédite, qu’il vit là, dans les premiers mois de sa vie, entre jubilation et confusion, nous semble être l’endroit d’un sujet de dialogue idéal à entamer avec les tout-petits pour cette future création.
Création le 05 février Guéretoise de spectacle, scène conventionnée - Guéret
Mise en scène : Alban COULAUD | Avec : Elise HOTE | Régie et développement : Simon CHAPELLAS
Soutiens : Espace Jean Legendre - Scène conventionnée / Université technologique de Compiègne / La Fabrique - Scène conventionnée de Guéret / La Quincaillerie Numérique
La Compagnie Onavio est conventionnée par le Ministère de la Culture / DRAC Nouvelle Aquitaine et la Région Nouvelle Aquitaine
résidence de création
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du 07 au 22 février
UN ENDROIT OÙ ALLER
Un texte de Gilles Granouillet
« Donner la parole à celles et ceux qui ne l’ont pas d’habitude. Entendre au théâtre les histoires de celles et ceux qui ne se racontent pas dans la vie parce qu’on ne leur laisse pas la place. C’est ça qui m’intéresse de porter à la scène. » Adeline Arias
Un Endroit où aller c’est une histoire d’amour. C’est la rencontre de deux trentenaires, Sherkan et Mina, qui essaient de remettre de l’ordre à leur vie. Mina parle beaucoup, elle parle, elle n’arrête pas de parler, jamais, parce qu’elle a besoin de raconter son histoire : comment elle est partie de chez elle, comment sa mère lui manque, comment elle a été licenciée de la Socoba, et comment depuis, sa vie a basculé.
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D’abord un séjour en psychiatrie, elle y rencontre Sherkan, lui, il vide les poubelles de l’hôpital. Elle lui parle, il écoute, et il lui gratte le dos parce que des fois, elle n’arrive pas à bouger ses mains. Et puis ils tombent amoureux, ils s’installent ensemble, ils essaient de créer leur équilibre, mais un jour, lui, il parle d’avoir un enfant, et Mina, elle a peur, alors elle se met à éplucher des tonnes de légumes, pour faire de la soupe, pour nourrir l’enfant qui n’existe pas ; et puis éplucher des légumes, ça occupe ses mains qui n’ont plus rien à faire depuis qu’elle ne travaille plus à la Socoba. C’est dans leur maison d’hôtes autour d’une soupe qu’il.elle se racontent à leurs clients.
Découvrir le teaser live
Réalisé suite à la première et unique période de résidence de la compagnie sur ce projet. Celle-ci avait d'ailleurs eu lieu en janvier 2020 ici, chez Artéphile.
Compagnie Ema
Texte : Gilles GRANOUILLET | Mise en scène : Adeline ARIAS | Dramaturgie : Elodie MUSELLE | Avec : Anaïs HARTE et Stéphane BENAZET | Création lumière : Catherine REVERSEAU
Résidence de création
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du 22 au 28 février
BAÏKAL
Poésie / Théâtre / Design sonore / MAO
"Baïkal" est une création alliant poésie, théâtre et composition électro acoustique en live. Pensée comme une immersion sensorielle, entre conscience et inconscience, elle traite de mémoire familiale, de transmission, de réappropriation identitaire. Un personnage se livre à un voyage intérieur, explore différents espaces et temporalités, rassemble ce qui est épars et reconstitue une mémoire consciente. Son parcours est ponctué de récits, de paysages sonores qu’il traverse.
La forme choisie est celle d'un dispositif scénique poétique et électro acoustique afin que le public soit plongé dans une histoire et une ambiance sonore en live. Ce dispositif explore la synesthésie entre écriture poétique, illustration sonore, mouvements et voix.
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L'univers musical est travaillé à partir des textes écrits par l’interprète; le compositeur Bovary en propose une mise en scène acoustique. Il crée des paysages sonores énigmatiques, traversés par le personnage
Conception et interprétation : Janice Zadrozynski | Composition MAO : Bovary | Regard chorégraphique : Pedro Rosa avec le soutien de la Cie Ochossi | Photographes : Herminie philippe et Gérard Payelle
résidence de création
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du 01 au 06 mars
ABSENCE OF COLORS
WEIRD NOISE | Duo Batterie & Guitare à l’esthétique proche du rock, de la noise ou encore de l’électro
Le projet s’articule autour d’instruments préparés qui offrent des outils d’improvisation singuliers : capteur, looper, réseau, interaction, spatialisation, contrôle des lumières, etc…
La musique est composée à partir des contraintes et des possibilités offertes par ces outils développés par la compagnie à l’aide de logiciels tels que MaxMsp. Nous souhaitons présenter un live puissant, aérien et surprenant.
Damien Bernard : batterie, fx
Olivier Valcarcel : guitare, fx
Romain Bouez : lumière, interaction son et lumière
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La compagnie WEIRD NOISE a été créée en 2016 sous l’impulsion d’Olivier Valcarcel (musicien, compositeur, développeur MaxMsp). Elle a pour but de proposer des spectacles immersifs dans le domaine du théâtre, des musiques actuelles et des arts numériques.
La compagnie utilise des outils technologiques au service du propos artistique. Ces outils permettent une intéractivité accrue entre toutes les formes d’expressions choisies au fil des projets: spatialisation sonore, mapping vidéo, réseaux interactifs, lumières asservies.
Le fond des sujets abordés se veut cynique et sombre, non par soucis de négativisme, mais comme pour dépasser le constat absurde d’un monde souvent injuste et faire de cette folie un voyage vers notre enfance – notre insouciance – retrouvé-e.
Le terme anglo-saxon WEIRD NOISE pourrait-être défini de plusieurs façons: bruit bizarre, son étrange, curieux vacarme…
Écouter, découvrir l'univers de WEIRD NOISE à travers ce morceau
« Anger or silence », leur première expérimentation destinée à la scène, se trouve à mi-chemin entre concert et performance visuelle. Elle plonge le public dans un dispositif alliant musique électronique, mapping vidéo et multidiffusion sonore.
Résidence de création
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du 10 au 18 mars
OUVRE LA CAGE
Ecriture chorégraphique et interprétation Sara Pasquier | Compagnie Petitgrain
Perchée sur une trottinette, la danseuse s’amuse pour passer le temps et tromper l’ennui qui semble la gagner. De chat perché en roulade, la voilà qui fait une drôle de découverte, une grande volière habite désormais les lieux. La danseuse épie cette grande cage aux barreaux dorés, puis après quelques hésitations, finalement se faufile à l'intérieur. La cage se referme! Panique!
Soudain un étrange phénomène se produit, des plumes poussent dans son cou, une curieuse mutation s’opère.
Notre danseuse se pare alors d'un plumage coloré pour se transformer en un oiseau pas tout à fait ordinaire. Mais que faire de ce nouveau corps, de ces frêles pattes trop grandes et de ces ailes embarrassantes?
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Cette pièce chorégraphique jeune / tout public à partir de 2 ans raconte la métamorphose d'un être humain en oiseau en questionnant la notion de liberté, d'enfermement et ce rêve ancien: savoir voler !
L'écriture chorégraphique s'appuie sur le travail autour de l'objet, l'exploration du dispositif scénique, mais c'est surtout l'exigence de proposer une écriture chorégraphique ludique et poétique.
résidence de création
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du 03 au 09 avril
QUAND TOUTE LA VILLE EST SUR LE TROTTOIR D'EN FACE
Un texte de Jean CAGNARD (éd.Espaces 34)
Grand Prix de Littérature Dramatique ARTCENA 2018
Comment s’en sortir lorsqu’on est toxicomane ? Comment voit-on le monde ? Comment nous voit-il ? N’est-on pas en permanence « sur le seuil », à cet endroit de mise en jeu de la vie ? Est-on jamais sûr de se réveiller, et dans quel état ? Est-on jamais sûr du prochain pas ? À travers la voix du résident en institution et celle de l’éducateur, grâce à la langue percutante de Jean Cagnard, nous traversons une très longue journée, peut-être infinie, pendant laquelle la vie a la nécessité de se réinventer, parfois de façon drôle et cocasse malgré la souffrance.
Texte : Jean Cagnard – Editions Espaces 34 | Conception et réalisation : Catherine Vasseur et Jean Cagnard | Mise en scène : Catherine Vasseur | Interprétation : Julien Defaye et Vincent Leenhardt | Scénographie : Cécile Marc | Création lumières : Catherine Noden | Création musicale et sonore : Jérôme Hoffmann | Production : Hélène Sorin
Production : Compagnie 1057 Roses | Co-production : Théâtre Le Périscope – Scène conventionnée d’intérêt national – art et création pour les arts de la marionnette, le théâtre d’objets et les formes animées – Nîmes / Le Cratère, Scène Nationale d’Alès / Le Printemps des comédiens, Montpellier | Partenaires : Artéphile - Avignon / La Bulle bleue - Montpellier / Mix’Art Myrys - Toulouse
Théâtre
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24 avril
ANNULÉ
LA MAGIE LENTE
Un texte de Denis Lachaud, mis en scène par Pierre Notte
paru aux Editions Actes Sud-Papier
Monsieur Louvier a été diagnostiqué schizophrène il y a dix ans. À tort.
Guidé par un nouveau psychiatre qui l’aide à faire confiance en ses réminiscences, il va progressivement découvrir qui il est et pouvoir se réconcilier avec lui-même. Au fur et à mesure du récit de la tragédie de son enfance, de sa vie, la libération de Mr Louvier se dessine. C’est tout l’enjeu de la pièce.
Le texte de Denis Lachaud raconte une histoire atroce et pourtant simple. Il en restitue la douleur mais aussi la lumière. Un être humain, violé dans son enfance, voit sa vie détruite à cause de ce traumatisme. Il va progressivement se reconnecter avec sa propre histoire, à l’opposé de celle qu’il s’était dessinée et qu’on lui avait diagnostiquée.
Télérama TTT • L’écoute absolue de la salle, très rare, est le signe que quelque chose se passe qui sort de l’ordinaire.
Causette • Ce récit tendu, sans concessions, cru parfois, est porté par un acteur d’une intensité sidérante…
La Terrasse • Une mise à nu impressionnante.
L’Humanité • Lumineux de vérité.
Compagnie L'idée du nord
Texte : Denis LACHAUD | Mise en scène : Pierre NOTTE | Avec : Benoit GIROS | Création lumière : Eric SCHOENZETTER | Costumes : Sarah LETERRIER | Régie : Alexandre MANGE
Production : L’Idée du Nord | Avec les soutiens de : La Drac Centre-Val de Loire, La Région Centre-Val de Loire, La ville d’Orléans.
Théâtre | Dès 15 ans | Durée 1h10
Réservations au 04 90 03 01 90 ou sur resa@artephile.com
Résidence de création
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du 27 au 30 avril
ANNULÉ
LE CHEVREUIL ET DALIDA
À la fois opérette absurde et tragédie contemporaine drolatique, ce seule en scène revisite la vie d’une chanteuse mythique pour écrire une fable tragi-comique déjantée et bouleversante.
Ici, l’univers est décalé et fantastique. Dalida nous reçoit à Porto-Vecchio. L’ambiance est légère, c’est la fête. Le temps d’une interview, elle revient sur les tubes, ses rêves et les brisures qui ont rythmé sa vie.
Entre parodie et incarnation, réalité et fiction, les grands événements de sa vie sont racontés puis poétisés pour laisser apparaître la tragédie d’une héroïne populaire devenue un mythe.
Création et interprétation : Clémence Caillouel | Mise en scène : Jessica Walker
Production : La Volada / antisthène | Partenaires : Laboratorio Teatro / Le Relais / Département Seine Maritime 76
résidence de création
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du 28 avril au 07 mai
REPORTÉ
KALÉIDOS
Avez-vous déjà vu un tout petit face à un miroir ?
Avez-vous déjà constaté la jubilation qu’il a à contempler cet autre qui n’est pas encore tout à fait lui-même ?
Dans le miroir, le tout-petit découvre petit à petit une nouvelle réalité du monde, différente de celle qu’il a jusqu’alors. Lorsqu’il se regarde dans le miroir, il se construit une image de lui-même, une identité propre, qui lui permet de différencier progressivement son corps de celui des autres. Une expérience inédite que nous avons tous vécue…
Cette expérience, inédite, qu’il vit là, dans les premiers mois de sa vie, entre jubilation et confusion, nous semble être l’endroit d’un sujet de dialogue idéal à entamer avec les tout-petits pour cette future création.
Mise en scène : Alban COULAUD | Avec : Elise HOTE | Régie et développement : Simon CHAPELLAS
Soutiens : Espace Jean Legendre - Scène conventionnée / Université technologique de Compiègne / La Fabrique - Scène conventionnée de Guéret / La Quincaillerie Numérique
La Compagnie Onavio est conventionnée par le Ministère de la Culture / DRAC Nouvelle Aquitaine et la Région Nouvelle Aquitaine
résidence de création
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du 17 au 23 mai
ANNULÉ
SAMARE
Ce trio explore les thèmes de l'enfance, de la folie et du souvenir à travers ses propres compositions.
Oscillant entre folk, slam et chanson française, Samare propose un voyage poétique et intime à travers ses mots, ses guitares et son violon.
Élie Barthès : Chant et Violon
Noé Audollent : Guitare
Thibaud Tallon : Guitare et choeurs
Écouter, découvrir l'univers de SAMARE à travers ce morceau
« Désert d'or »
