ARCHIVES
SAISON 2021-2022

  • DU 20 AU 24.09.21

    LE CONTRAT DES ATTACHEMENTS

RÉSIDENCE DE CRÉATION | THÉÂTRE
Un texte de Jean-Yves PICQ

L’histoire est celle d’un amour incroyable, fusionnel, éternel.
Pourtant, un matin, en entendant les nouvelles à la radio, la vision du monde de cette femme change, la folie l’envahit pendant une minute, le temps de « mettre le feu à la demeure », pour hurler sa révolte, son dégoût subit du monde.

Et voilà le couple projeté à terre dans un endroit improbable qu’on souhaiterait onirique.
« Considérant la désolation où vous avez mis le monde autour de vous, nous avons choisi de vous transférer dans cet endroit, de vous priver de vue et de vous attacher les mains, non pas pour vous punir de vos erreurs comme des enfants que vous n’êtes plus – erreurs qu’il ne nous appartient pas de juger de toute façon – mais pour préserver une chance, la dernière, d’une résolution possible entre vos deux parties ».

Comme une conscience extérieure, la voix grave et énigmatique d’un Tiers-ami invite le couple à n’utiliser que la parole pour éviter le recours instinctif aux gestes et aux regards et parvenir plus vite à l’essentiel.

« Ce qui m’a attirée, c’est ce défi de jouer les 50 premières minutes de la pièce avec les yeux bandés et les mains liées dans le dos » dira Anaïs Assémat lors des premières résidences.

Cie. L'eau qui brûle

Mise en scène : Anaïs Assémat | Direction d'acteurs : Justine Boulard | Avec : Anaïs AssématJulien Assémat et Thomas Pujol | Création lumière : Mylène Pastre | Création son : Clément Salles

  • DU 27.09 AU 08.10.21

    DEMAIN DÈS L'AUBE

RÉSIDENCE DE CRÉATION | THÉÂTRE
Un texte de Pierre NOTTE

Cette pièce, écrite en 2015 par Pierre Notte, auteur dramatique, metteur en scène et comédien, raconte l’histoire de deux femmes, une grand-mère et sa petite-fille qui s’apprêtent à recevoir pour le dîner des convives qui ne viendront jamais. Cette attente est l’occasion pour l’auteur de décrire l’amour inconditionnel de ces deux femmes, leur complicité, mais aussi leurs difficultés et parfois leur colère.

Pierre Notte nous livre ici le récit de deux figures de femmes que l’âge sépare, mais que les questions fondamentales sur la vie rapprochent. Histoire de la transmission intergénérationnelle, construction des liens qui, tour à tour, les rendent tendres et complices, mais aussi tumultueux et chaotiques. Les deux femmes se disputent, se consolent, partagent des doutes, des questions, des secrets et des confidences, de l’amour.

Anaïs Assémat s’empare de cette histoire mélancolique, touchante, drôle, surprenante, émouvante, pour mettre en scène le relationnel et la parole, pour nous faire vivre la transversalité de l’échange et la force du lien.

Cie. L'eau qui brûle

Mise en scène : Anaïs Assémat | Avec : Justine Boulard et Marina Vibik | Création lumière : Julien Assémat | Création son : Samuel Debout

  • DU 11 AU 17.10.21

    DANS TES RÊVES

RÉSIDENCE | THÉÂTRE
Librement inspiré du discours de la servitude volontaire d'Étienne de la Boétie

« Quelle condition est plus misérable que celle de vivre ainsi, n’ayant rien à soi et tenant d’un autre son aise, sa liberté, son corps et sa vie ? ». Étienne de La Boétie, Discours de la servitude volontaire.

La nouvelle création de BYG FACTORY se propose d'entrer sans barrières dans les émotions les plus profondes de notre humanité.
C'est à travers le regard d'une femme artiste, perdue dans un monde qu'elle ne comprend pas, et dans lequel elle se sent aliénée, que l'on se retrouve projeté dans une quête viscérale et musicale, vouée à défendre la liberté. Née dans ce que l'on appelle 'Le pays de l'Homme', en Périgord, c'est dans la musique et la pensée de La Boétie, que se libèrent ses chaînes.

Un spectacle musical où la vidéo, décor virtuel est la projection de la pensée, et où la lumière nourrit l'émotionnel.

BYG Factory

Saxophone - Voix : Émilie Klipfel | Batterie - Voix : Bertrand Dubois| Guitare - Voix - Vidéo : Gaël Mange | Platines - Mix - Voix : Thomas Rouas

  • DU 12 AU 21.10.21

    KALÉIDOS

RÉSIDENCE | JEUNE PUBLIC

Avez-vous déjà vu un tout petit face à un miroir ?
Avez-vous déjà constaté la jubilation qu’il a à contempler cet autre qui n’est pas encore tout à fait lui-même ?

Dans le miroir, le tout-petit découvre petit à petit une nouvelle réalité du monde, différente de celle qu’il a jusqu’alors. Lorsqu’il se regarde dans le miroir, il se construit une image de lui-même, une identité propre, qui lui permet de différencier progressivement son corps de celui des autres. Une expérience inédite que nous avons tous vécue…

Cette expérience, inédite, qu’il vit là, dans les premiers mois de sa vie, entre jubilation et confusion, nous semble être l’endroit d’un sujet de dialogue idéal à entamer avec les tout-petits pour cette future création.

 

Soutiens : Espace Jean Legendre - Scène conventionnée / Université technologique de Compiègne / La Fabrique - Scène conventionnée de Guéret / La Quincaillerie Numérique

La Compagnie Onavio est conventionnée par le Ministère de la Culture / DRAC Nouvelle Aquitaine et la Région Nouvelle Aquitaine

Cie. Onavio

Mise en scène et scénographie : Alban COULAUD | Avec : Elise HOTE | Régie et développement : Simon CHAPELLAS

  • DU 17 AU 21.11.21

    PAYSAGE INTÉRIEUR BRUT

RÉSIDENCE | THÉÂTRE
Un texte de Marie DILASSER

Marie Dilasser nous invite dans la tête de Bernadette qui tente de se reconstruire après une tentative de suicide et une dépression suite à un harcèlement au travail.

Tout en préparant ses fameuses patates à l’eau dans sa cuisine, Bernadette joue à se métamorphoser pour tromper son immense lassitude. Elle devient son chien Rumex, son mari Joël, paysan et spécialiste en génétique bovine, sa mère Anna, qui se promène sur les routes la nuit pour revoir son ancienne maison… Endormie par les lexomils et la télé, elle ne se réveille vraiment qu’au son du boîtier de pompier, car elle est devenue pompière bénévole. Et puis il y a Rotrou, l’ancien patron aux mains baladeuses et au verbe humiliant, qu’elle voit en bœuf, accroché au lustre, prêt à être dépecé. Rotrou, Monsieur Loyal de la modernité et du consumérisme, bœuf blanc flasque et fantomatique, aspirant par le cul des tas de vieilleries qu’il recrache en objets modernes. Rotrou, par qui Bernadette va se laisser aspirer pour mieux le dépecer de l’intérieur et cracher toute sa colère dans ses entrailles. Et elle pourra alors sortir de sa cuisine, pour « reconstruire un monde ».

 

Partenaires : Théâtre Eurydice - Plaisir, Le Plato - Romans-sur-Isère
Soutien : Artéphile - Avignon

Cie. Les cris du nombril

Mise en scène : Blandine Pélissier | Avec : Line Wiblé | Collaboration artistique : So Beau-Blache | Création lumière : Carole Agostini | Scénographie - Costumes - Graphisme - Teaser : So Beau-Blache

 

  • DU 03 AU 10.10 & DU 29.11 AU 12.12.21

    ENTRE EUX DEUX

RECRÉATION | THÉÂTRE
Un texte de Catherine Verlaguet

Entre eux deux est l’histoire d’une urgence, d’une rencontre décisive entre deux adolescents, Elle et Lui.

Elle, ne supporte pas le silence, parle tout le temps, ne peut rester en place.
Lui, parle beaucoup moins, mais son corps s’exprime pour lui.

Ils oscillent entre le monde de l’enfance et le monde adulte, une sorte d’entre deux. Ils nous propulsent dans leur univers puissant et poétique où les émotions ne cessent de s’entrechoquer.

Texte publié aux Editions Théâtrales Compagnie À Présent

Production : À Présent | Coproduction : Les Nuits de l’Enclave | Partenaire : La Ville de Saint Quentin

Cie. Ema

Mise en scène : Adeline Arias | Dramaturgie : Élodie Muselle | Avec : Anthony Lozano et Élise Hobbé | Scénographie : William Defresne | Lumière et régie lumière : Catherine Reverseau | Son : Zak Arias

  • DU 22 AU 26.11.21 & DU 12 AU 18.01.22

    MES PAPAS, L'OGRE ET MOI

RÉSIDENCE | THÉÂTRE
Un texte de Stanislas Cotton

Pétronille, que tout le monde appelle Ninou, est une petite fille délurée. Elle vit heureuse avec deux papas qui l’ont adoptée quand elle était toute petite.
Comme tous les enfants de son âge, elle aime raconter l’histoire de sa famille, une histoire d’amour où tout aurait pu être pour le mieux si un jour un ogre n’avait jeté un gros pavé dans la mare, couvrant son ciel de nuages et lui faisant comprendre que le monde est compliqué, que les chemins de la vie sont pavés d’embûches.

«Depuis que j’écris du théâtre, dans la plupart de mes pièces, j’ai toujours essayé de souligner l’injustice sans donner de leçon ou émettre de jugement. Je dirais que je tente de mettre en lumière des faits de société ou des situations qui sont la source de controverses parfois houleuses dans notre monde contemporain. C’est bien le cas ici, avec ce texte tout public - donc, destiné aux plus jeunes et à leurs aînés - dont l’ambition est de parler d’amour, du regard déformé que certains peuvent lui porter et de l’incompréhension que d’autres lui manifestent. Puisse-t-il engendrer la discussion et contredire les méfaits de l’ignorance.» S.C.

Cie. Mille rêves

Mise en scène : Pierre Notte | Avec : Anysia Deprele, Tristan Impellizzeri et Lorenzo Théodore 

Produit par la compagnie Mille Rêves | Soutien Artéphile - Avignon

 

 

  • DU 20 AU 31.01.22

    LES FILS CONDUCTEURS

RÉSIDENCE | THÉÂTRE
Un texte de Guillaume POIX

Thomas, jeune photographe franco-suisse, se rend à Accra, au Ghana, pour y dénoncer la catastrophe écologique et humaine de la montagne d’ordures d’Agbogbloshie qu’on surnomme "la bosse". Au milieu de ce cimetière de téléviseurs, d’ordinateurs, de smartphones et autres déchets high-tech de l’Occident, il croise la route d’un jeune ghanéen, qui lui fait découvrir les recoins de ce territoire.

Le texte de Guillaume Poix interroge avec noirceur les conséquences de la mondialisation et les zones troubles du regard occidental.

 

Production : Collectif Satori, Théâtre des Clochards Célestes

Mise en scène : Fabrice Henry | Collaboration artistique : Ferdinand Flame | Avec : François Copin, Clémentine Haro, Sarah Kristian, Mexianu Medenou, Thomas Resendes | Musique originale : P.r2b | Vidéo/lumières : Till Piro-Machet

  • LE 04.02.22

    LE CHEVREUIL ET DALIDA

THÉÂTRE
Une fable tragi-comique qui revisite la vie d'une diva

À la fois opérette absurde et tragédie contemporaine drolatique, ce seule en scène revisite la vie d’une chanteuse mythique pour écrire une fable tragi-comique sensible et déjantée.

Ici, l’univers est décalé et fantastique. Dalida nous reçoit à Porto-Vecchio. L’ambiance est légère, c’est la fête. Le temps d’une interview, elle revient sur les tubes, ses rêves et les brisures qui ont rythmé sa vie.

Entre parodie et incarnation, réalité et fiction, les grands événements de sa vie sont racontés puis poétisés pour laisser apparaître la tragédie d’une héroïne populaire devenue un mythe.

Production |  La Volada - Antisthène - Département de Seine-Maritime - Le Relais, Centre de recherche théâtrale - Laboratorio Teatro, Barcelona - Festival du Curieux printemps

Dans le cadre du Fest'hiver

04.02.22
20H30 
>
Billetterie

Tout public, à partir de 12 ans
Tarif plein 19€ | réduit 15€

Cie. La Volada | Antisthène

Création et jeu : Clémence Caillouel | Mise en scène : Jessica Walker | Création Lumière : Xavier Duthu

Pour en savoir plus sur La Volada, cliquez ici

  • DU 07 AU 13.03.22

    ZONES D'OMBRES

RÉSIDENCE | THÉÂTRE & MUSIQUE
Un texte de Christophe Tostain

Suite à la belle collaboration artistique et humaine qui permit la création du Mensonge du Singe, spectacle créé en 2017 qui se joue encore et se jouera en 2022, François Xavier Malingre et Christophe Tostain souhaitent poursuivre cette aventure en se lançant dans un nouveau projet : Zones d’ombres.

La volonté commune de François Xavier Malingre et de Christophe Tostain est de proposer un objet artistique situé entre un concert et une performance poétique et musicale qui s’adressera directement aux spectateurs.

Leur proposition sera donc d’abord un texte écrit sous la forme d’une succession de poèmes, alternant prose et vers nous racontant l’histoire d’un individu qui, après être né dans une ruralité profonde, partira vers une très grande ville pour tenter sa chance, mais se fera dévorer par la violence d’un monde consumériste. Il s’échouera dans les bas-fonds, digne de ceux de Maxime Gorki, et il lui faudra vraisemblablement un courage démesuré pour s’en arraché, revenir vers ses terres et rejeter la fonction de chasseur pour se contenter d’acquérir celle du cueilleur….

La musique sera omniprésente. Elle sera le deuxième partenaire de l’acteur. Elle donnera le rythme, les couleurs et les reliefs du poème pour emmener le spectateur se promener dans les différents registres de l’écriture. François Xavier Malingre prêtera sa voix au texte, Christophe Tostain composera la musique, plutôt électro, à base de samples, synthétiseurs, groovebox et guitare basse qu’il jouera en live.

Cie. du Phoenix

Texte, musique : Christophe Tostain | Récitant, chant : François-Xavier Malingre | Scénographie : Lotus Choffel

SOIRÉE JAZZ | DOUBLE CONCERT

 SHAN + SWIMMING POOL

LE 11.03.2022
20H30
> Billetterie

Tarif plein : 17€ | réduit (chômeurs, étudiants, cartes OFF 2021) : 12€

  • SHAN

Eau, végétal, pierre, mémoire.
Le trio Shan propose un parcours poétique fort.

Les musiciens de Shan improvisent en se projetant dans un imaginaire commun de la montagne. La musique fait écho à l’entièreté des forces élémentaires qui l’habitent, s’y entrechoquent, s’y accordent, ainsi qu’à la relation entre les humains et ces forces.
À l’intérieur de cette musique, il n’y a pas de leader à proprement parler, mais une conversation triangulaire, dans laquelle chacun fait résonner son instrument en s’abandonnant à l’énergie tellurique et sonore qui circule.

Pascal Charrier : guitare folk | Julien Pontvianne : saxophone ténor, clarinette | Ariel Tessier : batterie, percussions

SORTIE D'ALBUM | Pour en savoir plus sur le trio SHAN, cliquez ici

  • SWIMMING POOL

Swimming Pool est une chimie fragile, une rencontre entre des produits dangereux, toxiques et des adoucisseurs qui, mélangés, amènent à un équilibre.

Né de la rencontre entre Robin Fincker (Saxophone, Clarinette), Sébastien Brun (Batterie, Electronique) et à l’initiative de Julien Tamisier (Claviers), le travail se développe autour de textures acoustiques et électroniques intégrant des rythmes qui se croisent et se multiplient.

Dans le souci d’une intention précise, l’espace est envahi, laissant le temps à la matière improvisée de se développer. On entrevoit un jeu changeant, rugueux, mélodique, en résistance vers l’accord.

  • DU 18 AU 24.04.22

    LA FOLLE ALLURE

RÉSIDENCE | THÉÂTRE
Un texte de Christian Bobin – éditions Gallimard

La folle allure nous raconte l’enfance en tant qu’état.

Lucie est une fugueuse qui choisit d’incarner son désir à chaque instant, avec fougue et radicalité. Elle n’a pas d’âge, pas de maison. Elle ouvre sa boîte à souvenirs et nous entraîne dans une succession de tableaux poétiques et musicaux. Peut-être qu’elle se remémore, peut-être qu’elle invente.

C’est une œuvre à la fois douce et ardente, puissante et légère, ludique et saugrenue. Lucie, la protagoniste, embrasse son quotidien avec enthousiasme tout en prenant le temps d’observer ce qui l’entoure, de faire du banal quelque chose d’extraordinaire. Une façon de ne pas mourir.

Cie. Zia

Adaptation, mise en scène, décor : Suzie Baret-Fabry | Avec : Loulou Hanssen | Compositeur et musicien.ne.s : Anna Idatte et Guillaume Itier | Costumes : Anna Idatte et Suzie Baret-Fabry | Construction : Fred Arnaud & Co | Crédit photo : Cédric Bolusset, Festival Court mais pas vite
  • DU 25.04 AU 03.05.22

    MARTINE À LA PLAGE

RÉSIDENCE | THÉÂTRE & MUSIQUE
Un texte de Simon Boulerice - éditions La Mèche (Québec)

Entrer dans l'histoire de Martine,
C'est comme se jeter du haut du grand plongeoir d'une piscine.
D'une piscine vide

A 14 ans, 
La vie de Martine est floue.  Elle s’ennuie. 

Quand Gilbert Marcel, son nouveau voisin optométriste,
Lui prescrit sa première paire de lunettes,
Elle tombe folle amoureuse
De lui.
Pour le revoir,
Martine se ruinera la vue.

_Et dans l’angle mort de mes lunettes, _
Je vois des fantômes

Pour le revoir,
Martine s’immiscera dans la vie de Gilbert…

Martine à la Plage,
C'est l'histoire d'une Lolita dépourvue de séduction.
Une Lolita en bonnet de bain qui subit échec par-dessus échec.
C'est une comédie en porn color
Qui bascule dans la cruauté extrême.
C'est une plongée en apnée,
Sous la ligne de flottaison entre la fantaisie et le fantasme criminel.
C’est un road movie qui s’achève
Là où il a commencé,
Au bord du précipice de nos adolescences.

Martine à la Plage, 
C’est un regard tendre et sans filtre
Sur les désordres des héros et des héroïnes de 14 ans.
C’est le récit de la naissance maladroite du désir,
Qui se frotte à la musique chic et sensuelle de CLAAP!
Duo glam présent sur la scène électro pop internationale.
Un spectacle qui croise les codes du théâtre
Et ceux du concert live.

Cie. Onavio

Adaptation et mise en scène : Alban Coulaud | Musique originale : CLAAP! | Direction technique, son et régie son : Simon Chapellas | Création lumière, régie lumière et vidéo : Alexandre Mange | Vidéos : VJ Drone | Avec : Elise Hote, Santana Aguemon, Sylvain Rigal
.
Pour écouter les sons de CLAAP! c'est ici!
  • DU 02 AU 06.05.22

    LES MONSTRUEUSES

RÉSIDENCE | THÉÂTRE
Un texte de Leïla Anis ( Lansman Editeur)

« Mes règles ont 10 jours de retard, je sais ce que ça veut dire des règles qui ne viennent pas en 2008, il ne faut pas être bien intelligente pour comprendre ce que 10 jours de retard, la France l'amour en 2008...Il faut avoir un peu de sottise en soi et assez de soleil pour le crier dans la rue à tue-tête ».

Ella, jeune femme d'aujourd'hui, perd connaissance devant un laboratoire d'analyse médicale et se réveille en 1929. Au gré de son amnésie post-traumatique, elle parcours le sillon emprunté par les filles et mères de sa généalogie. Un récit des origines intime, haletant, victorieux.

Evelyne Trân | Le Monde.fr « Un formidable appel (… ) Magnifique est la langue de Leila Anis à la fois volcanique et tendre. Elle a la couleur de la poésie,  la poésie crue des émotions vives (… ) La mise en scène de Karim Hammiche est très attentive aux mouvements de cette femme flamme qui entend illuminer toutes les autres, au-delà de celles de sa lignée. Nous sommes émus jusqu’à l’indicible ! » 

Joelle Gayot (J.G.) - Télérama sortir .  On aime beaucoup - TT « Leïla Anis, souple interprète d’une représentation qu’elle emmène, par bifurcations et virages serrés, vers les mémoires enfouies de sa généalogie familiale. Elle n’est pas une, elle est multiple (… ) Ce spectacle en solo parle de ce qui a été jadis et qui persiste,  à notre insu, à nous hanter. Il dit que, pour être libre, il faut savoir d’où l’on vient (… ) et en une petite heure seulement, sait créer le vertige. » 

Anaïs Heluin - Sceneweb.fr « La langue singulière des Monstrueuses saisit d’emblée (…) Leïla Anis dessine des frontières qui échappent à toute géographie réelle ( …) Conçue comme l’espace mental d’Ella, l’élégante et minimaliste scénographie de Karim Hammiche accompagne la quête mémorielle de l’héroïne – offre à la comédienne et auteure un espace idéal où convoquer les récits de celles dont la protagoniste porte le sang (…) Leïla Anis et Karim Hammiche font de leur théâtre un endroit de douceur et de délicatesse qui s’oppose à la violence et à la rapidité de notre monde . À sa profusion d’images que la scène gagne toujours à éviter ou à questionner. » 

Cie. l'œil brun

Mise en scène : Karim Hammiche | Avec : Leïla Anis et Karim Hammiche | Création musicale : Clément Bernardeau | Création lumière, régie : Anne-Marie Guerrero | Régie son : Pierre-Emmanuel Jomard | Construction : Hugo Dupont
.
Coproduction | Théâtre de Cachan, Grange dîmière-Théâtre de Fresnes, L'Atelier à spectacle - scène conventionnée de l'Agglo du Pays de Dreux (28), Ville de Dreux, Conseil Départemental d'Eure et Loir, Région Centre-Val de Loire, DRAC Centre-Val de Loire.

Avec le soutien de la Maison des Métallos à Paris, le Merlan scène nationale de Marseille, le Théâtre de la Tête Noire - scène conventionnée écritures contemporaines (45), le Théâtre en Pièces (28), la 5ème saison / ACCR, Textes en l’Air Saint-Antoine-L’Abbaye.

  • DU 20 AU 23.05.22

    À NOS AILLEURS

RÉSIDENCE | THÉÂTRE
D’après des textes de Marc Pastor, Natacha Räber et Evelyne Torroglosa

Les cinquantièmes hurlants sont des latitudes situées entre le 50e et 60e parallèle dans la zone de l’océan austral. Ce nom est lié aux vents violents que l’on trouve dans cette région. On entend parfois les marins dirent : «sous 40 degrés, il n’y a plus de loi, mais sous 50 degrés, il n’y a plus de Dieu».

Bien que vivant entre l’Algérie, l’Espagne et la France, les personnages de ces histoires semblent cheminer contre vents et marées, dans un couloir où ces vents hurlants tempêtent leurs vies. On pourrait appeler ces remue-ménages célestes : guerres, accidents, séparations, maladies, dépressions… Disons que les vents tracent un sillon dans lequel ces personnages tentent d’avancer, inlassablement, génération après génération.

.

Production : Compagnie de l’Astrolabe | Coproduction : Domaine d’O (Montpellier), le théâtre du Chai du Terral (St Jean de Vedas), le Kiasma – Agora (Castelnau-le-lez – Le Crés), La ville de Mauguio | Accueil en résidence : La Chapelle-La Vista et Montpellier Métropole, le Théâtre Jean-Claude Carrière – Domaine d’O (Montpellier), le Hangar-Théâtre (Montpellier), le théâtre des Franciscains (Béziers), le Kiasma – Agora (Castelnau-le-lez – Le Crés), La ville de Mauguio – Carnon.

Cette création a reçu le soutien de la DRAC Occitanie, de la région Occitanie, du Département de l’Hérault, de la ville de Montpellier et de la Métropole de Montpellier.

Cie. de l'Astrolabe

Mise en scène : Nicolas Pichot | Avec : Marc Pastor, Evelyne Torroglosa et Natacha Räber | Regard extérieur à l’écriture : Leïla Anis | Collaboration artistique : Mélanie Ray | Création sonore et vidéo : Tony Bruneau | Création lumière : Claire Eloy | Scénographie : Daniel Fayet | Chargée de production: Virginie Espana | Administration: Edwige Ripamonti | Photographe : Marc Ginot

Remerciements à Catherine Sardi, Yaël Ciancilla, Claude Maurice, Phyllis Yordan, Iris Pichot. Avec l’aimable participation de Ana Torroglosa (vidéo) et Anne-Marie Pastor (enregistrement audio)

Comments are closed.